Burkina/société : Le Conseil National de la Modernisation de l’Administration et de la Bonne Gouvernance dresse son bilan

Burkina/société : Le Conseil National de la Modernisation de l’Administration et de la Bonne Gouvernance dresse son bilan.

Burkina/société : Le Conseil National de la Modernisation de l’Administration et de la Bonne Gouvernance (CN-MABG), a organisé ce lundi 24 juillet 2023, une session ordinaire à Ouagadougou. L’objectif de cette session présidée par le premier ministre, Me Apollinaire Kyélem de Tambèla est de faire le bilan des actions de modernisation de l’administration et de la bonne gouvernance mises en œuvre au cours de l’année 2022.

Comme à l’accoutumée, le Conseil National de la Modernisation de l’Administration et de la Bonne Gouvernance (CN-MABG),a tenu sasession ordinaire ce 24 juillet 2023, en vue de dresser le bilan de l’organisation de l’administration de l’année 2022. Il s’agissait en effet, de présenter et d’examiner l’état de mise en œuvre de la Stratégie nationale de modernisation de l’administration publique (SNMAP) en 2022 ; de présenter et d’examiner le rapport sur l’état de la gouvernance en 2022 ; de présenter des outils / actions de modernisation de l’administration et de promotion de la bonne gouvernance ; de donner des orientations en matière de modernisation de l’administration et de bonne gouvernance sur la période 2024-2025.

le premier ministre, Me Apollinaire Kyélem de Tambèla a présidé la session

Le ministre d’Etat, Bassolma Bazié a ouvert la session par un discours

Le ministre d’Etat, de la fonction publique, du travail et de la protection sociale, Bassolma Bazié a ouvert la session par un discours de bienvenu. Il a aussi souhaité que ce conseil national de la modernisation jette les bases d’une administration résiliente au service de ses clients. Car, selon lui, premier responsable des ressources humaines de l’Etat, l’administration et ses agents publics dans toutes les régions assurent la présence de l’Etat au péril de leur vie. Il les interpelle alors à plus d’abnégation afin de renforcer la résilience dans l’administration publique. Car, toute action pour une administration moderne dépend d’abord de son existence.

Rose SEGRADO et Rachidatou SIENOU (stagiaire)

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